Les Steppes désolées

De Illimune
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Source : Wikibélé

Historique

L'époque calme

Selon les anciens écrits, les Steppes Désolées ont toujours existées. La plupart des historiens les reconnaissent comme le berceau d'où sont originaires les premiers orcs lors de leur création voilà plusieurs milliers d'années.

En ce temps par contre, les Steppes étaient,et de beaucoup, moins arides et surtout incroyablement moins vastes. Les premières notes concernant les Steppes Désolées sont datées de l'an - 7 000 du calendrier Adéonite et font état d'une plaine, au nord des marais du Katabuy, où évoluent des bêtes féroces à la peau verte à peine capables de communiquer par la parole en une langue ressemblant à différents tons de grognements. Ces êtres, qui furent nommés orcs, ont d'abord été bien gardés par les elfes, qui n'arrivaient pas à se décider s'ils devaient les considérer comme des ennemis véritables ou simplement comme des bêtes féroces et sauvages mais dignes de vie puisque fils de Gaea. En cette époque, les orcs possédaient leurs propres dieux et les démons n'existaient pas encore. Mais déjà leur peuple était voué tout entier au combat. Pendant des siècles, les orcs sont restés cloîtrés dans leur domaine : les steppes du non retour comme les appelaient les habitants des royaumes frontaliers. Ces steppes avaient au départ une superficie équivalente au royaume de l'empire de Twyden actuel. Les orcs n'en sortaient que rarement. Pas qu'ils craignaient leurs voisins, mais leurs dieux le leur interdisaient. Il fallait attendre d'être prêt, attendre un signe. Ainsi après plusieurs siècles de sélection naturelle en leur sein, les orcs virent un signe : la guerre venait jusqu'à eux.

La multiplication

En -3 700 ou peu s'en faut, pour la première fois, les orcs subirent l'assaut d'ennemi : les humains. Ces derniers venaient du sud. Ils formaient une armée de deux bonnes centaines de cavaliers et du double de fantassins. Ils avançaient en quête de butin à rapporter à leur nation qui florissait loin au sud, au-delà du marécage. Ils étaient arrivés par bateau et accostèrent sur le rivage. Ils croyaient vraisemblablement devoir affronter des Gnomes, des elfes ou des Petites-Gens.

Peu d'humains survécurent à l'assaut des clans orcs réunis. Par la suite, la légende veut que les prêtres orcs aient reconnu ces nouveaux êtres comme le signe que les Dieux leur demandaient d'attendre. La prophétie réalisée, le temps était venu pour les orcs de se répandre et de peupler la terre entière. Les prêtres croyaient qu'il fallait alors descendre au sud pour semer la guerre à la nouvelle race, mais comme les marais étaient infranchissables, il fallait des bateaux et donc des arbres pour les construire, mais dans les steppes il n'y en avait point. Pour en trouver, les orcs montèrent au nord mais les elfes ne voulurent pas les laisser couper leur forêt. La première grande guerre commença donc. C'est aussi en ce temps que l'autorité des prêtres orcs s'effrita, que les shamans prirent de plus en plus de pouvoir et qu'enfin toutes les bases de "l'empire orc" mises à sac, les clans s'éparpillèrent.

Parallèlement, les humains aussi colonisèrent les terres du nord. Par la ruse ou la force, ils créèrent un tas de petits royaumes à l'est des Monts Remparts. Pendant un temps, le territoire que l'on nomme aujourd'hui les Steppes Désolées était une vaste étendue de terres fertiles, de lacs gorgés de poissons et de verdoyantes forêts. Il fut même un temps ou la paix se généralisait peu à peu.

Puis vinrent les démons… et les temps sombres. C'est lors de la mort de leur dieu Hargrash que les orcs devinrent réellement les êtres que l'on connait présentement. La plupart des orcs furent plus que prompts à passer du culte des dieux à celui des démons. Principalement à celui de Morgh. Selon plusieurs, ce serait à cause de ce cet être maléfique que la méchanceté qui a toujours été présente en eux se fit de plus en plus proéminente jusqu'à ce qu'elle prenne toute la place.

Avec la Guerre des Dieux. Le climat changea également. La pluie se fit de plus en plus rare. Les plaines fertiles en vinrent à ne plus donner que de maigres récoltes et les royaumes se vouèrent des luttes acharnées entre eux. Les orcs eux ne possédaient pas d'énormes royaumes. C'étaient pour la plupart des nomades. Nombre d'entre eux furent engagés par des seigneurs pour piller leurs ennemis et s'emparer de leurs richesses et leurs réserves de nourriture.

En ce temps, les orcs étaient des mercenaires.

Le règne orc

Cette époque perdura jusqu'au 21ème siècle avant Usire Adéon, soit avant la venue du premier roi orc : Starak Kall. Ce dernier eut un règne bref, mais son message lui survécut. Il réussi à convaincre une bonne centaine de chefs de clans que l'heure du règne orc avait sonné. Qu'il fallait sortir les peaux blanches des steppes pour la gloire de Morgh!

Après 5 ans de règne, Starak Kall fut assassiné durant son sommeil par un gobelin. À sa mort, trois autres orcs se nommèrent rois à sa place mais plutôt que s'affronter, ils se divisèrent les steppes. Gallkan Double-Mace pris le sud, Starak Second l'ouest et Firikor Kall le nord. L'est ne fut réclamé par aucun orc, les humains y étaient trop présents, leurs royaumes trop puissants.

Ainsi débuta l'ère de la conquête, royaume après royaume, cité après cité, tous les opposants aux orcs tombèrent. L'âge d'or du peuple des peaux vertes. Ces derniers crurent un bon moment que la terre entière serait verte un jour. Pendant des centaines d'années, ils purent s'accrocher à ce rêve. Inexorablement, ils pillaient et bâtissaient leur royaume : Un immense champ de ruine ou les quelques poches de résistance tombèrent une à une, lentement. Les humains se défendaient bien. Les autres races qui peuplaient alors les plaines également, mais les orcs, et les autres races à la peau verte, telles les trolls et les gobelins, remportaient, années après années, du terrain. Chaque victoire de leurs ennemis n'apportait que plus de rage et plus de détermination au sein du peuple de pillards.

Ainsi au cours d'un millénaire tombèrent dans l'oubli des peuples, des civilisations mais également nombres de races. Des races animales tel les Oiseaux de feu, le Serpent de rock, ou le Bélier sacré de Naad.

Des races animales mais également des races d'êtres intelligents dont plus personne ne se souvient autrement qu'une poignée d'elfes. Si quelques-unes tombèrent lors de la guerre qui les opposa aux hommes, ce sont les orcs qui exterminèrent la grande majorité des autochtones. Ainsi tombèrent dans l'oublie les Dao, les Jimango, les San-San, les Gnomes et les Ask-Mek. Ces derniers furent de tous ceux qui donnèrent le plus de fil à retordre aux orcs.

La plaine appartenait désormais aux orcs à l'exception de l'est, de plusieurs montagnes ou des nains se cantonnaient et de l'extrémité nord.

En - 1180, Dangar-Gork, fils de Dangar-Gork et l'un des maintenant 19 rois orcs des plaines décida de mener une expédition vers le nord : par-delà des monts enneigés. Son peuple alors subissait la famine comme la majorité des peuplades. Aucune n'étaient vraiment efficace pour cultiver les champs. L'ère du pillage des riches nations humaines était révolue depuis des dizaines et des dizaines d'années et les esclaves qu'ils avaient capturés en ce temps pour cultiver ou s'occuper de troupeaux avaient été soit tués, soit déjà mangés. La disette perdurait et année après année le gibier se faisait plus rare. Dangar-Gork croyait que tout au nord du monde, plus loin que La Faille demeurait un royaume qui n'avait encore jamais été pillé. Il s'y dirigea donc avec tous ses guerriers, une vaste troupe de près de 13 000 guerriers dont 400 farouches trolls. Sitôt disparu, on le jugea mort, et une guerre brève et sanglante débuta pour ses terres. Mais mort il n'était pas, pas alors. Bien que peu d'être ne le sachent, Dangar-Gork conquit quelques villes naines et, toujours montant vers le nord, finit par arriver à la ville mythique de Karcen-Myrik.

De l'aventure de Dangar-Gork en sa quête de l'extrême nord, qu'une seule et unique chose a pu transpirer et est gardé aujourd'hui comme une triste vérité : il revint au bout de 15 ans, vieilli et décadant de corps et d'esprit, et précédé d'êtres nouveaux et épouvantables, grands de 3 mètres et chevauchant des montures à leur taille, mélange de cheval et de lézard, carnivores de surcroît. Les géants, près d'une centaine, combattaient pour lui avec un tel esprit de violence que les orcs les nommèrent Gar Fosktok (Grands redoutables).

L'ancien roi orc tenta de reprendre son royaume, ce fut vain. Il mourut avant même d'avoir le temps de commencer sa guerre. La vieillesse avait eu raison de lui. Ses troupes se dispersèrent, les géants commencèrent leur chevauchée alors même que les peaux vertes entraient dans un nouvel âge.

-1164 est une année qui restera à jamais gravée dans les anales des elfes comme étant funeste car c'est alors qu'ils entrèrent en guerre avec la nation orcs. Nul ne sait si c'est Morgh qui les poussa vers l'ouest ou si l'épopée ne doit sa source qu'à la désertification de plus en plus avancée de la région et le désespoir d'une nation affamée.

Quoi qu'il en soit, c'est en -1164 que les orcs traversèrent le Bastion pour porter la guerre au-delà des Monts Remparts dans la grande forêt de Taurë Aglareb. Le premier affrontement dura 9 ans, 9 ans ou le peuple vert apporta la guerre profondément dans les bois du peuple aux oreilles pointues. Ils furent repoussés, certes, mais la guerre se perpétua jusqu'à tout récemment et si les peaux vertes ne réussirent pas à s'imposer à l'ouest, plusieurs croient que ce ne serait pas que l'œuvre des peuples de l'ouest, mais qu'ils auraient été mystérieusement protégés de l'invasion tout comme le fut le Mohit.

Le déclin des verts; l'ascension des géants

Les Steppes furent donc le lieu d'origine de nombreuses nations, une riche terre verdoyante aux temps anciens qui fut conquise en presque totalité par les humains. Au règne de l'humanité succéda celui des orcs qui perdura alors que les plaines passèrent de lieux verdoyants en terres arides. Puis, il y a de cela environ 1 000 ans, on commença de plus en plus à entendre parler des mystérieux géants rapportés du nord par Dangar-Gork. Ces derniers n'ont jamais pullulé, mais leur nombre a augmenté graduellement. Des mercenaires en premier lieu, respectés et craints sur le champ de bataille, ils ont commencé à former des clans propres, puis éventuellement à refuser de se ranger aux côtés des orcs. Ils se sont mis à l'élevage de bovidés et de leurs mystérieuses montures, qu'ils sont les seuls à pouvoir domestiquer.

D'une certaine manière, l'histoire se répéta. Les orcs, jadis, après avoir combattu pour différents seigneurs humains ont fini par repousser ces derniers de la quasi-totalité des steppes. Les géants firent de même. C'est en 727 que les échos de cette guerre parvinrent au Bastion. Des milliers de peaux vertes se sont alors présentées au Bastion. Quelques guerriers, mais en majorité des femmes et des enfants fuyant leur terre, poussés par les géants, ont tenté de fuir au sud des Monts Remparts. Bien évidemment ils furent anéantis par le Lion d'Asdalan et tous les autres protecteurs de l'humanité. Plus au nord, d'autres troupes orcs eurent plus de chance et réussirent à solidifier leur position en Colbor. Contre les nains au sud, contre les morts-vivants au nord. Certains autres encore trouvèrent quelques tunnels menant directement en Twyden : le moyen était bon mais la destination leur fut fatale…

Si l'humanité à l'ouest n'y est pas sensible, celle de La Faille y voit un changement très préoccupant. Depuis 740, il n'y a plus aucune peau verte sur toute les Steppes Désolées à l'ouest des villes satellites de Mhor'Kar. Soit à tout au plus une centaine de kilomètres de La Faille.

État des steppes en 742

L'étendue des steppes de l'est fait plusieurs millions de kilomètres carrés. Les Steppes Désolées ne peuvent être définies comme une nation mais doivent être vues comme un lieu où plusieurs forces s'affrontent dans une lutte incessante.

Pour arriver à dresser un portrait un tant soit peu réaliste, il ne faut pas traiter de la Steppe Désolée, mais bien des Steppes Désolées.

L'ouest

La région contenue entre les Monts Remparts, le Katabuy et cessant à quelques distances de La Faille de Mhor'Kar est depuis quelques années tenue hermétiquement par les géants. En fait, ces derniers ont chassé toutes les peaux vertes de la région. Cette chasse s'est faite subitement et sans raison évidente. Comme si les géants avaient à un moment décidé que la masse critique venait d'être atteinte. Le génocide fut aussi surprenant qu'impressionnant et cela pour quelques raisons. La première et la plus évidente est que personne ne croyaient les géants capables d'une action à si grande échelle. Jusqu'à ces dernières années tous croyaient qu'ils étaient aussi stupides que violents. Après tout, il était logique de le croire. Leur langage est encore plus rudimentaire que celui des peaux vertes et ils sont nomades, ne s'aventurant jamais en groupe de plus d'une centaine d'individus. Du moins c'était le cas. Tout changea après cette dernière année. Les géants se sont coalisés, ils ont mené leurs attaques avec brillance et efficacité.

En 734, les géants des steppes ont littéralement passé à travers le Bastion et se sont rendus jusqu'au cœur d'Argyle. Alors que le Bastion réussissait malgré le manque d'effectifs à garder ses frontières au cours des dernières décennies, 734 rappela que c'est à l'est que se trouve le grand danger pour l'humanité. Étais-ce une démonstration de force d'un peuple naissant, une attaque sans lendemain ou l'annonce du retour de temps plus sombres? Seul le temps le dira.

Selon certains voyageurs, à plus d'un mois et demi de marche du Bastion, tout au sud des Monts de la Discorde, les géants seraient en train de creuser une très profonde tranchée circulaire délimitant un périmètre de quelques KM carrés. La rumeur n'a pas été confirmée.

Les géants ne font de commerce avec aucune autre race. S'ils louaient auparavant leurs services comme mercenaires, cette pratique prit fin il y a longtemps déjà.

Il est difficile d'évaluer leur nombre. Comme ils ont été capables de chasser de leur territoire les anciens occupants et, quelques années par la suite, d'envoyer 3 000 guerriers en Argyle, il y a fort à parier que leur population est de quelques centaines de milliers d'individus. Un grand nombre mais qui se relativise bien compte tenu de la grandeur du territoire qui fait presque la taille de l'Ancienne Illimune.

L'est

À l'est de La Faille de Mhor'Kar, les informations sont encore plus fragmentaires qu'à l'ouest. La distance n'aidant pas, les dangers non plus. Il est de nature de croire que l'est appartient encore aux verts. Les géants y sont-ils encore ou ont-ils tous migrés à l'ouest? Les nouvelles ne le disent pas. Tout simplement, aucune rumeur de grand bouleversement n'a transpirée de cet endroit aussi vaste que lointain. Il apparait donc sensé de supposer que l'est est encore peuplé de nombreuses populations d'orcs, gobelins, trolls, etc. La plupart sont nomades, quelques-uns sédentaires. Au travers de ces derniers, quelques hommes, souvent des cultistes de Mhor'Kar, œuvrent à tirer les ficelles et à diriger la guerre en direction de leurs intérêts.

L'est compte probablement encore de nombreuses dynasties orcs, à moins que ces dernières aient oublié leur habitude à ainsi nommer leurs chefs pour les monter au niveau des rois humains dont les royaumes couvraient la plaine alors qu'elle était encore riche et fertile.

Le centre

Ce qui est nommé le centre est en fait un très petit territoire se situant entre le Mhor'Kar et Thalata Drira, soit le grand fleuve au nord du Mohit. Il s'agit d'un lieu très important. Autrefois s'y trouvait un royaume très puissant et prospère. De nombreuses ruines se retrouvent un peu partout sur le territoire. Des ruines de villes mais aussi de routes pavées les reliant ainsi que de gigantesques statues depuis longtemps brisées, de temples profanés où plus aucun fidèle ne vient prier de dieux. Les ruines sont vieilles, mais pas toujours abandonnées. Certaines troupes nomades s'en servent comme relais et abris. Deux des anciennes villes n'ont jamais cessé d'être habitées. Leurs populations ont changés, certes et elles n'ont plus du tout la splendeur d'antan, mais elles sont toujours bien vivantes. Il s'agit de Assansi, la citée gobeline et de Farraciturne, l'éternelle.

Près des nations civilisées

Il est une croyance populaire et très tenace qui veut qu'aucun commerce ne se fait entre les Steppes Désolées et les nations civilisées tel le Mohit… ou le Bastion. Rien n'est plus faux. Le commerce ne se fait pas directement, mais bien des intermédiaires s'en chargent. La zone tampon entre les nations civilisées et les territoires des tribus des steppes est toujours très vaste. Ses habitants arrivent à garder l'équilibre fragile nécessaire pour leur survie entre l'une ou l'autre des forces. Certains sont nomades et se déplacent au gré des événements et de la situation politique. D'autres sont sédentaires et tentent tant bien que mal de convaincre chacun des deux côtés que leur présence n'est pas nuisible à leurs causes. Certains enfin sont des déserteurs, exilés de leur patrie sans être admis dans l'autre.

Si certaines guildes ont, au fil du temps, réussi à s'imposer en certaines de ces zones inhospitalières mais si riche en possibilité de commerce, elles ne s'en vantent guère, préférant normalement garder l'information secrète tout particulièrement lorsqu'elle opère ailleurs dans des contrées plus civilisées et moins permissives.

Les religions

Dans les Steppes Désolées… Les suivants des dieux ne sont pas minoritaires; ils sont, à toute fin pratique, absents. Les démons, eux, y sont priés à outrance. Tous les cultes y sont représentés, mais les démons prédominants sont Morgh pour les orcs et Goldo pour les gobelins.

Ruines

Les Steppes Désolées pullulent de ruines de toutes sortes. La majorité est bien évidemment sans aucune importance autre que pour l'historien, des milliers de villes anonymes aux murs tombés, érodés par le vent et le sable. La grande majorité mais pas toute. Certaines nations, états et cités, avant de tomber, ont réussi des exploits qui sont encore visibles de nos jours. De ces dernières, les plus surprenantes sont la Ville Miroir, la Citée Suspendue et la Grotte de Jivalnatheo.